Le décès, en septembre dernier, d’une jeune fille de 13 ans à Gijón (Espagne) nous rappelle que les problèmes posés par les vaccins anti papillomavirus humains Gardasil et Cervarix ne font que s’accumuler. Des problèmes de plusieurs ordres :
- les conflits d’intérêts
- l’inutilité d’une telle vaccination
- l’inefficacité du Gardasil et du Cervarix
- les effets indésirables
- le risque d’un remplacement sérologique
- le pharmacommerce de la peur
- la désinformation par (le marketing de) Sanofi Pasteur MSD, Merck, GSK et des leaders d'opinion
- les coûts pour les systèmes publics d’assurance-maladie
Dans cet article, je rends compte de ce décès et des prises de position officielles, avant de passer aux réactions critiques, et notamment à la nouvelle pétition (à signer sur cette page) pour le retrait du Gardasil du calendrier vaccinal, mise en place par des professionnels de santé très réputés tout comme par des usagers, des associations d’usagers et de professionnels de santé ainsi que des sociétés savantes. Puis je rappelle la longue série de critiques et actions passées, c’est-à-dire le contexte dans lequel s’inscrit cette nouvelle initiative du mouvement de résistance civique espagnol. Je rappelle les principaux arguments, fais des comparaisons avec la France et donne bon nombre de liens permettant d’en savoir plus sur les diverses dimensions de ce dossier.