"Nécessité d’un moratoire sur le programme de vaccination contre le virus du papillome humain (VPH)"
Extraits: Montréal, le 26 septembre 2007.
"Le Réseau québécois d’action pour la santé des femmes (RQASF) considère qu’il est impératif de suspendre l’implantation du programme de vaccination contre le virus du papillome humain (VHP) (…). Selon l’avis de plusieurs ressources professionnelles de la santé, de groupes de femmes ainsi que de Mme Diane M. Harper, la chercheure principale qui a développé le « vaccin » Gardasil [1], il n’a pas été suffisamment testé pour en connaître les effets indésirables et négatifs sur les jeunes filles de 9 à 15 ans. Son efficacité a été démontrée sur les femmes âgées de 15 à 25 ans uniquement. Vacciner les jeunes filles du primaire et de secondaire 3 et 4, donc de 9 ans et plus comme le souhaite le programme, revient à signer un chèque en blanc sur la santé de nos jeunes filles.